Woobe est un système d'échange de consentements dématérialisés.

Sur Internet, Woobe garantit

la sécurité juridique de vos échanges, en toute confiance

grâce à :

  • l’identité numérique irrévocable des acteurs de l’échange
  • la signature électronique d’un document original
  • sans fichier central des données à caractère personnel
  • l’opposabilité au tiers ou la preuve juridique de l’échange
  • dans un contexte supranational

En première lecture cet inventaire ne vous paraît sans doute pas unique à Woobe. Et pourtant, très rares sont les prestataires sans fichier central. Encore plus rares ceux qui peuvent prétendre à l'opposabilité juridique aux tiers. Mais à quoi cela sert-il ? Pardi, à faire valoir vos droits ! Et donc vous mettre à l'abri des escroqueries, des dénis, des fausses identités, des espionnages, et de toutes les manières de tirer avantage de l'anonymat sur Internet aux dépends d'autrui.

La sécurité informatique n'est pas citée, mais elle est partout et totalement intégrée dans le processus d'échange car gardienne des certitudes.

On peut comprendre plus facilement l'originalité du système par quelques caractéristiques distinctives :

  • Woobe n'enrôle pas ses propres utilisateurs (sinon il se ferait la preuve à lui-même, en plus de centraliser indûment des données à caractère personnel).
  • Tout est mandat avant de poser un acte. Il en existe de trois sortes : les attributions de fonction (directeur, administrateur, employé, avocat, huissier, etc.), les mandats de personne à personne (morale ou physique), et les mandats à mandater, de portée limitée à l'accès aux contenus des documents, qui ne servent qu'en cas de transfert de fonction et d'enquête judiciaire.
  • La sécurité est dans chaque document, et pas dans le système. Woobe (pas de mur, documents encryptés) est donc l'opposé d'un coffre-fort électronique (accès aux documents en clair derrière un mur d'encryption). Ainsi, les documents Woobe peuvent être égarés sur clé USB et recopiés sur tout support sans risque pour la confidentialité des échanges. Pire : plus il y a de copies, plus le système est robuste !
  • Chaque utilisateur appartient à autant de communautés qu'il exerce de fonctions, plus une liée à son identité civile pour les rares fois où une personne commerce en nom propre.
  • La sécurité est de bout-en-bout (...comme les PKI), mais ne demande pourtant pas de connaître à l'avance la clé cryptographique publique de chaque correspondant (...pas du tout comme les PKI).
  • Même en cas de réponse positive à un devoir d'enquête, Woobe n'aura pas plus la possibilité d'ouvrir un document qui a transité par lui; et pourtant, Woobe va pouvoir y répondre en renvoyant le juge vers une tierce personne (le tiers-mandant, tout aussi incapable d'ouvrir vos documents) que vous aurez dûment mandatée à ... mandater.

Enfin, Woobe n'est pas un tiers certificateur au sens habituel, mais un fabricant de preuves par son action de vérificateur de la validité des échanges. En effet, en l'absence de fichier central, Woobe ne peut par exemple pas certifier les identités des intervenants à une transaction. Par contre Woobe peut, en s'inspirant de techniques cryptographiques "zero knowledge", attester de la validité d'une identité exprimée dans une signature, valider une signature, valider l'attribution utilisée pour signer, valider sa liaison à un document particulier, etc. Il n'appartient pas à Woobe de dire qui est avocat, qui est huissier, qui est employé et de quelle société, ni même qui s'appelle Jean Dupont.

La certification de toutes ces identités vient des utilisateurs du système eux-mêmes ! Certains utilisateurs, par l'exercice légal de leurs attributions au sein des communautés qu'ils représentent (entreprises, associations professionnelles, institutions, études et bureaux) peuvent enrôler d'autres utilisateurs, ou même attester de leur identité civile (cas des officiers ministériels : huissiers, notaires, officier de l'état civil). Ce sont donc ces utilisateurs particuliers qui certifient les identités et les attributions de chacun. Ensuite, ce sont tous les utilisateurs eux-mêmes qui certifient leurs propres documents par leur signature électronique.

Woobe sera seulement le certificateur du processus de distribution du document. Woobe certifie l'échange et la trace de son exécution auprès de chacun des destinataires (et de leurs mandataires). 

C'est un nouveau métier qui demande une nouvelle appellation :

le tiers probateur

Tout cela vous paraît très bizarre? Honnêtement nous aussi, il nous a fallu beaucoup de temps pour remettre en question la pensée unique qui prévaut dans le domaine et oser inventer un nouveau système, plus un nouveau métier. Contactez-nous et partageons.